Pu’er, une ville où je marche lentement, est une ville développée sur la base de thé, on peut y récolter de thé dans la rue et sur la route, dans l’air, il y a l’odeur de thé ; et c’est une ville où il y a le thé Pu’er, les aliments écologiques, les danses et chants populaires et le bar d’oxygène naturel.
A Pu’er, tout arrive sans signe, on n’y sent pas le changement de saison et le temps car dans l’air, c’est toujours l’odeur de thé.
Marcher dans la rue Zhushi, les relles antiques et étroites vous présentent leurs histoires, l’architecture de l’ethnie Lagu, le pavillon de l’ethnie Dai, la porte route, la tuile vert et le mur blanc constient le symbole, un oiseau reste à la coniche pendant quelques secondes et part immédiatement.
A la place Chayuan, les habitants de Pu’er vous invite à s’asseoir devant la table même si vous n’achetez pas le thé, un meilleur service vous est réservé.
Marcher sur les escaliers au parc du lac Meizi, et avec les nouveaux mariés qui font photo à côté et les enfants dans le navire sur lac, on pense à l’époque de l’enfance sans souce, à l’époque où on est jeune et attend la vie joyeuse et à l’époque où on a l’âge moyen et travaille durement.
Pu’er, une ville à visite, à déguster et à aimer.
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